chambre de Aldayr et Saya

Aprés avoir demander a de nombreuse personne son chemin Saya finin par trouver sa chambre c'était une chambre simple avecdeux lit et deux armoir ainsi que deux table de chevet et une salle de bain et des toilette elle était fatigué et s'allongea sur un lit puis elle en aperçut un autre alors elle devina qu'elle aller avoir un colocataire

"pfff je suis fatigue bon un colocataire c'est pas trop mal j'espère que se serait un beau garçon parceque les fille me prenne la tête hooo j'ai qu'il vienne enfin bon pour l'instan il faut que je range mes affaire"

elle se dirigeat ver une armoir et commençat a déballer sa valise

Enfin, Aldayr vient de recevoir son numéro de chambre. Cela fait un long moment qu’il attend, et son humeur s’en trouve légèrement affectée, mais cela ne le change guère de ses habitudes. Après un dédale interminable de couloirs, de classes, de parcs, il trouve enfin où se situent les dortoirs. Endroit assez paisible, malgré le bruit des étudiants. Parmi les nombreuses chambres, il trouve enfin celle où il doit emménager ses maigres affaires. La porte est entrouverte, son unique colocataire est peut-être déjà arrivé ? Néanmoins, ce coloc n’a pas intérêt à le gêner sinon cette pièce deviendra vite une chambre pour une seule personne… Il ouvre nonchalamment la porte, et est surpris de voir l’autre personne en train de ranger ses affaires dans une armoire.

*Une fille ? Qu’est-ce que c’est que cet établissement… ?*

La jeune fille se tourne vers lui, et il ressort pour vérifier le numéro de chambre.

*C’est bien celle-ci… Une chambre mixte donc?*

Il rentre à nouveau, conservant son regard sombre habituel mais ne la dévisage pas, peut-être un peu gêné de se retrouver dans la même chambre qu’une fille. Il pose son sac sur son lit, et adopte une attitude antipathique.

*Après ma prof, voici une nouvelle épreuve… J’espère ne pas changer trop vite, m'adoucir à cause de cette école…*

Il regarde enfin celle-ci dans les yeux… Il ne désire rien dire mais sent les questions arriver…

quand vit elle vit le jeune homme entré dans la chambre elle un jeune homme au visage froid se qui lui donna des frisson mais boon elle devait quand même être gentille car elle ne voulait pas trop avoir de probleme alors ele se leva pour le salut en lui souriant

"bonjour je m'apelle Saya je suis trés contente d'être ta colocaaire j'espère qu'on va bien s'entendre"

le jeune homme ne lui répondit pas ce qui l'énerva un peu mais elle ne le montra pas et grada son calme pour évitez une tempête

"bon a ce que je vois t'es pas trés bavard c'est pas grave non non c'est pas grave mais je peut au moin connaitre ton non"

il ne lui répondit toujour pas alors Saya s'énerva un peu

"bon a parament ta pas trés bon caractère et bien figure toi que moi aussi alors tu voi moi jre suis ici justement popur se probleme alors ta vie j'ai pasenvie de la connaitre mais je veux juste savoir ton nom c'est pas trop demander n'est ce pas"

Aldayr est amusé de la réaction de la jeune fille. Après la gentillesse et d’indifférence dans la salle de cours, un peu d’agressivité à son égard lui prouve qu’il n’a pas encore trop changé et conserve le pouvoir d’énerver.

*Elle a l’air moins douce qu’à première vue, ça la rend plus intéressante…*

-Ne t’énerve pas trop vite. Je me nomme Sestu, Aldayr de mon prénom. Nouveau membre de cette école, mais je suppose qu’il en est de même pour toi vu que tu installais tes affaires, donc pas besoin de te poser la question…

Il la voit se calmer un peu, sûrement satisfaite pour un instant. S’il a à passer son année dans cette chambre, autant que ça se passe sans trop d’anicroches. Aldayr ouvre son sac, et en sort plusieurs vêtements assez chics, qu’il range dans son armoire.

*Il faudrait que je m’en achète des nouveaux…*

Après avoir fini son rangement, très rapide vu le peu de vêtements qu’il a emporté, il se tourne à nouveau vers la jeune fille, sans un sourire comme à son habitude.

-Vu ton caractère, aucun doute que l’on va s’entendre…

Saya était contente que le jeune homme parle enfin malgrés son visage sans émotion il avait l'air plutot gentil alors comme elle était contente elle lui sourit

"heu désoler de m'être énerver mais tu sais je suis pas le style gentille fille docile je suis plutot la petite peste qui fait du mal au gen alors je voudrai m'excusez d'avance si j'amais je te blesse enfin voila pardon"

puis elle se sentie toute chaude comme si elle était mal a l'aise alors elle s'asseya sur son lit puis se leva et ouvrit la fenêtre

"désoler je sais pas ce qui m'arrive mais j'ai trés chaud oui mon corp et tous bouillant je sais pas pourquoi"

"heu désoler de m'être énerver mais tu sais je suis pas le style gentille fille docile je suis plutot la petite peste qui fait du mal au gen alors je voudrai m'excusez d'avance si j'amais je te blesse enfin voila pardon"

Si il savait sourire, il le ferait certainement en entendant cela. Car c’est un changement dans son esprit d’entendre ces mots prononcés par une fille chétive et mignonne comme celle-ci, un faux ange en perspective, qui fait du mal aux autres.

*Elle s’avérera peut-être pire que moi au final…*

Cette pensée l’amuse. Néanmoins elle le regarde en souriant et il se contente de ne rien répondre, jugeant qu’aucune réponse n’est indispensable. Il s’asseoit sur son lit, et dépose un carnet remplit de notes dans sa table de chevet. Puis il se retourne et la voit ouvrir la fenêtre, alors que la température n’est pas vraiment élevée. Lui qui aime le froid ne s’en plaint pas.

"désoler je sais pas ce qui m'arrive mais j'ai trés chaud oui mon corp et tous bouillant je sais pas pourquoi"

Aldayr reste un moment sans réponse, puis la regarde et lui dit :

-Tu ne serais pas une élémentariste du feu ? Ca pourrait expliquer tes chaleurs…

"moi non je suis pas une élémentariste du feu mais du vent mais je ne controle pas bien mon pouvoir la seul chose dont je suis sur c'est que j'ai toujour aimer le vent il nous transporte loin loin de touts les soucis que tu peus avoir et sa fait un grand bien. bon c'est bon je vais mieux je vais fermer le fenêtre il fait vraiment pas chaud dehor"

puis elle continua de reanger ses affaire ele le regarde atentivement pour bien voir commment il était mais elle ne voulait pas lui poser de question puis elle vit ses vêtement trés classe alors elle ne put s'empêcher decrier

"woua!!!! tu t'habille drolemnt bien j'ador se style trés classe"

Il l’écoute parler, et a l’impression que cette jeune fille a eu plus d’une tristesse dans sa vie, pour parler d’escapade grâce au vent… La fait est qu’il ne désire pas se disputer avec elle, les éléments ne sont pas à sous-estimer.

"woua!!!! tu t'habille drolemnt bien j'ador se style trés classe"

C’est avec une sensation étrange qu’il entend cette phrase. Il ne se remémore plus le dernier compliment que quelqu’un lui ai fait, et il faut dire que ce n’est pas désagréable à entendre. Continuant de la regarder, son regard inchangé malgré un aprioris différent, il lui dit :

-Merci, je fais un effort pour toujours être présentable. J’ai une meilleure confiance en moi vêtu ainsi. J’espère que cet établissement ne demande pas le port d’une tenue spéciale car je n’ai pas envie de porter autre chose. Sinon, ravi que ça te plaise...

*Merci, depuis combien de temps n’ai-je plus prononcé ce mot ?*

Gêné de se voir ainsi bouleversé pour si peu, et de se mettre à parler sans rien dire d’intéressant, il se couche sur le lit et ferme les yeux dans l’espoir de remettre son esprit en ordre… Gentillesse, compliments, cette nouvelle vie est trop différente, tous ces changements le perturbent…

Gêné de se voir ainsi bouleversé pour si peu, et de se mettre à parler sans rien dire d’intéressant, il se couche sur le lit et ferme les yeux dans l’espoir de remettre son esprit en ordre… Gentillesse, compliments, cette nouvelle vie est trop différente, tous ces changements le perturbent…

*mince j'ai peut -être dis quelque chose qui fallait pas ho non je suis toujour en trainde dire des bêtise bon je fait quoi moi la bon*

elle prit une grand respiratrion et s'asseya prés de lui sur le lit pas trop prés car elle était un peu géner

"je suis désoler si je t'ai fait de la peine pardon je t'en veux pas si tu est faché"

il restèrent un moment silencieux puis saya dit

"tu sais c'est vrai que je te connais pas depuis lontemps mais avec ton visage grave je n'arrive pas a te serner a prmiere vue enfin pôur les autre je pense c'est trés déconcertant mais moi je trouve que sa te vas bien tu sais"

Aldayr est plongé dans ses pensées, fermé au monde qui l’entoure. Absorbé dans l’espoir de se ressaisir, il ne se rend pas compte que Saya vient de s’asseoir près de lui et qu’elle lui dit de sa voix douce :

"je suis désoler si je t'ai fait de la peine pardon je t'en veux pas si tu est faché"

Il ne réagit pas tout de suite, ces mots mettent quelques instants à casser le cours de ses pensées. Il ouvre les yeux et elle poursuit :

"tu sais c'est vrai que je te connais pas depuis lontemps mais avec ton visage grave je n'arrive pas a te serner a prmiere vue enfin pôur les autre je pense c'est trés déconcertant mais moi je trouve que sa te vas bien tu sais"

C’est à ce moment qu’il se redresse et la trouve tout près de lui. Il la regarde l’espace d’un instant et son esprit décortique peu à peu ses mots.

* Voilà qu’elle continue… Compliments et gentillesse…Sont-ce là mes faiblesses ? Ma carapace est-elle si fragile ? Non ne te laisse pas faire, ce ne sont que des mots…*

Gêné tout d’un coup de se retrouver si près d’elle, il se lève et lui parle, évitant de la regarder directement.

-Hum… Merci… Il est vrai qu’en général mon physique ne donne pas très envie aux gens de se tourner vers moi, mais je ne m’en plains pas, la solitude me plaît. Savoir qu’ils me haïssent me réconforte et ainsi je ne leur dois rien en retour. Je suis comme cela, et mon physique n’est que le pâle reflet de mon cœur aussi sombre.Mais ne t'en fait pas je ne t'en veux pas.

Il continue un peu de se balader dans la chambre, ne sachant trop comment se défaire de sa gène...

A cesmot Saya eu une drole de sentsation comme si Aldayr faisait semblan d'être qui il était comme si comme si enfin c'était trés difficile a expliquer

"tu sais je trouve que tu es un drole de type et j'ai plutot l'impression que tu t'oblige a faire passer cette image de toi et que dèrriere tous sa il y a en vériter quelqu'un qui arrive sourire mais a mon avis deschose de ta vie ton obliger a devenir comme sa même si au fond de topi tu ne veux pas enfin peu être que je me trompe sur toute la ligne mais c'est ce que je ressen chez toi"

"tu sais je trouve que tu es un drole de type et j'ai plutot l'impression que tu t'oblige a faire passer cette image de toi et que dèrriere tous sa il y a en vériter quelqu'un qui arrive sourire mais a mon avis deschose de ta vie ton obliger a devenir comme sa même si au fond de topi tu ne veux pas enfin peu être que je me trompe sur toute la ligne mais c'est ce que je ressen chez toi"

Il réfléchit un instant aux dires de Saya. Elle a peut-être raison, et il le sait. Cette question il la répétait souvent dans sa tête…

*Que suis-je vraiment… ? Rien d’autre qu’une ombre égarée dans le méandre de mes souvenirs… N’oublie pas que tu es un assassin…*

-C’est grâce à cette facette de ma personnalité que je suis encore en vie aujourd’hui. Je ne peux l’abandonner, ni changer. Ce serait comme me trahir moi-même, comme renier ce que j’étais, ce que je suis, et devenir quelqu’un d’autre. Non je n’en suis pas capable… Je ne mérite pas d’être autre…

A ces mots, il se dirige vers la fenêtre et observe avec plaisir pigeons se chamailler pour un morceau de pain…

"he bien si sa te plait d'être comme sa c'est trés bien mais tu n'aimpe pas et ben sa sert a rien de soufire pour rien mais a ce que tu dis tu a beaucoup de remord...enfin je sais pas se que tu as fait mais tous le monde a le droit a une seconde chance parceque se n'est pas bon de passer sa vie a culpabiliser je pense que même si tu as fait des chose horrible tu as le droit toi aussi au bonheur"

*je dis sa moi mais je ne suis pas mieux enfin pour le moment se n'est de moi dont il s'agit*

Toujours tourné vers l’extérieur, il observe en écoutant attentivement Saya, prôner de bien belles paroles, mais pense-t-elle seulement ce qu’elle dit ? Mérite-t-il vraiment ce bonheur… Il ne l’a jamais ne serait-ce qu’entraperçu au cours de sa vie, comment serait-il accessible à présent ?

*Tu te fais du mal, qu’est-ce qui te prends de penser au bonheur tout à coup ? Tu sais très bien que tu ne le mérites pas ! Ton cœur est sombre, et ton corps souillé par le sang, n’oublie jamais ça, même si la vie présente est plus aisée !*

Il quitte la fenêtre et se tourne vers Saya, qui le regarde d’un drôle d’air. Cette torture mentale le perturbe, il ne sait trop que faire… Il est un peu perdu, et décide de se diriger vers l’évier, pour se rincer le visage à l’eau glaciale afin se calmer un peu. Il s’essuie le visage tout en continuant de penser…

*Elle doit vraiment se demander quoi…*

Il se retrouve face au petit miroir, et se détourne rapidement de celui-ci, le reflet ne lui plaisant guère, pour se diriger et s’asseoir sur le lit de la jeune fille, sans un regard vers celle-ci. L’espace d’un instant, ce n’est pus de la haine mais une expression étrange qui peut se lire sur le visage d’Aldayr…

Saya resta silencieuse et regarda Aldayr ele ne dit rien car elle aussi elle se sentait bizzard comme ele arrivait a comprendre comme si il était identique mais qu'elle elle masquait sa souffrance sous un faux sourire alors que lui ne le cachais pas

*moi aussi je sais trés bien que je n'ai pas le droit au bonheur et que les gen qui savent se que je suis me montre du doit en voyan ma joie vivre mais je m'en fiche oui alors lui aussi il a bien le droit de s'amuser*

Saya se leva et se dirigeat ver le jeune homme

"bon écoute d'ordinnaire j'aime bien voir les gen souffrire mais pas quand il sont identique a moi, je pense que tu réfléchi trop arrête et lache toi.Si tu assayé de me sourire pour voir je suis sur que tu serait beaucoup plus beau"

"bon écoute d'ordinnaire j'aime bien voir les gen souffrire mais pas quand il sont identique a moi, je pense que tu réfléchi trop arrête et lache toi.Si tu assayé de me sourire pour voir je suis sur que tu serait beaucoup plus beau"

Ces mots le percent tel une nuée de lances dans la poitrine. A nouveau tout s’embrouille. Le visage de ses victimes, de ses proches qu’il ne verra jamais plus, de son passé misérable…

*Je…réfléchit trop…Comment pourrais-je seulement m’amuser ?…*

Toujours assis sur le lit, il voit la jeune fille s’approcher de lui. Il la fixe, d’un regard nouveau, les yeux voilés, la haine enfuie l’espace d’un instant…

*Qui suis-je réellement… Une coque vide, un corps sans âme… *

Ce n’est pas un sourire qui vient défigurer son visage, mais deux larmes, qui s’écoulent lentement le long de ses joues, chaudes comme si son cœur s’éveillait à nouveau.

*Que m’a-t-elle fait ?...*

Saya vit qu'à un moment le jeune homme changea de regar il n'était plu froid il ne souria pas mais il n'y avait plus de haine dans ses yeux plus de froideur alors elle se sentie trés heureuse, mais l'instand'aprés le jeune homme se mit a pleurer elle ne savait pas si il s'agissait de larme de tristese ou d'autre alors sa la mis un peu mal a l'aise.

"ho non s'il te plait d'habitude c'est le contraire et puis un mec qui pleure c'est pas beau a voir, bon c'est pas grave vas-y sa va te soulager tu sais t'es larme sont magnifique"

Seules quelques larmes s’échappent, témoignant un changement certain. Mais ce n’est pas cet émoi passager qui le transformera aux yeux de tous. Seule cette fille l’a vue ainsi, et il compte rester l’être antipathique et intimidant qu’il a toujours été. Il laisse les larmes mourir le long de ses joues, sans s’essuyer, et finit par redresser la tête, retrouvant un peu de sa fierté, du moins assez pour regarder Saya dans les yeux.

-Dorénavant je me sentirai faible face à toi, n’aie pas pitié de moi je t’en prie, c’est un sentiment qui me répugne. Dis-toi juste que pour toi je serai une autre personne dorénavant, que les autres ne connaîtrons jamais…

Saya avait remarquer que le jeune homme c'était ressaisie ce qui lui fit le plus grand bien parceque s'occuper d'un homme qui pleure c'est vraiment pas son truc

"moi de la pitié tu me prend pour qui j'ai jamais eu pititeé de personne c'est pas aujourd'hui que sa va changer ent ous cas je suis contente que tu ai mieux parceque un garçon qui pleure enfin bref...mais tu sais je ne serait peu -être pas la seul a voir ce changement. mais j'aimerait bien comme sa sa serat un secret entre nous deux"

-Alors ceci restera entre nous, je ne désire pas étaler cette faiblesse. Garde ceci pour toi et je t’en serai reconnaissant. Mais tu sais, ça arrive également aux garçons de pleurer, ce n’est pas l’acquis des dames. Enfin sois contente ça ne m’arrivera plus de si tôt.

Aldayr s’interroge quelques instant sur son interlocutrice, il ne sait presque rien sur elle et se demande comment elle a su provoquer cela chez lui. Néanmoins il s’est ressaisi, et désire poursuivre cette conversation. Il Regarde Saya et lui demande :

-L’attention s’est un peu trop tournée sur moi il me semble, plus que de raison tout du moins. Voudrais-tu que l’on parle de toi, ou bien toute autre occupation ludique serait la bienvenue.

Il balaye ensuite la chambre du regard, se disant qu’elle est bien triste et manque de vie, mais cela ne le dérange en rien, il est même satisfait de se dire qu’il n’aura pas à subir des couleurs insupportables une année durant…

Saya était surprise parler d'elle ne l'intérésser sa ce n'est pas qu'elel culpabilisait pour se qu'elle a fait dans le passer mais sa vie n'a vraiment pas été exptionnel et elle n'avait jamias rien fait d'exptionel non plus de plus elle ne souffrait pas particulierement mais elle n'était ni dans un bonheure complet en fait elle ne resentait pas grand chose

"ma vie à moi.... dison que jusqu'a un certain age j'ai été la petite fille a maman modèle et puis jouer la marionette pour obtenir ce que je voulait ne m'amusait plus alors j'ai fait des chose pas trés gentio à des gen qui ne m'avait rien fait, peut être par égoisme ou pour me faire voir mais je n'ai aucun remord et je dirait même que sa m'amuser. Je n'ai pas eu d'amis enfin c'est personne là je ne l'ai considérer simplement comme des pions je n'ai jamais vraiment aimer personne...."

puis elle marqua un moment de silence car elle s'avait trés bien qu'elle aimait deux personne c'était les seul qu'elle aimait d'ailleur et qu'elle aime encor alors elle dit d'un ton triste

"en fait si j'ai aimer deux personne c'est peu être peu mais c'est deux la je les aimer vraiment la premiere parcequ'elle ne me jugeait pas et il ma toujour soutenu c'est mon père il m'écoutait toujour mais il restait silencieux enfin je le comprend que pouvait il dire quand je lui racontait les horreure que je faisait et c'est grace a lui que je suis la il pensait que venir ici me ferait le plus grand bien"

puis elle s'allongea sur le lit et regarda le plafond

"et cet autre personne que j'ai aimer de tous mon coeur sans raison je l'aimait comme sa oui je l'adorait c'était mon frère mais je ne l'aimait pas comme on aime un frère mais tu vois et quoi qu'en dise les autre sa ne me dérangeait pas au contraire.mais quelqun nous à séparer cette personne c'est elle ma mère je crois bien c'est elle que je déteste le plus"

puis elle se releva et souriat a Aldayr

"oups la je crois que j'en ai trop dis"

Aldayr s’est installé à proximité de la fenêtre et regarde le ciel par la même occasion. Le soleil irradie en ce jour, et réchauffe l’atmosphère sinistre qui régnait dans cette sombre pièce jusqu’à présent. Il écoute avec attention les paroles de Saya, essayant de se visualiser au mieux le passé de cette jeune fille. Un cœur malmené dû à un amour particulier, difficilement accepté. Elle s’est peut-être forgée un caractère de chipie parce qu’elle souffrait de cet amour, ou plutôt du fait que sa mère les a séparés… Néanmoins, Aldayr en savait maintenant un peu plus long sur celle-ci.

"oups la je crois que j'en ai trop dis"

Il réfléchit un instant à cette remarque, sans quitter des yeux les quelques oiseaux voltigeant au-dehors.

-Si tu as dit tout cela, c’est que quelque part tu devais te confier à quelqu’un, pour te vider un peu. Content d’avoir été là pour ça.

Puis il se retourne et se rend compte que Saya lui sourit. Gêné il baisse à nouveau la tête…

*Arg je déteste cette impression de malaise…*

Cette sensation le coupe dans son envie de continuer de discuter avec elle…

-Si tu as dit tout cela, c’est que quelque part tu devais te confier à quelqu’un, pour te vider un peu. Content d’avoir été là pour ça.

c'est vrai que saya se sentie mieux aprés peut être parcequ'elle savait que Aldayr ne la jugeait car lui aussi il avait eu un passer plutot mouvementé c'était un nouvellesensation car maintenant saya se sentait légère comme libéré d'un poid

"oui tu doit avoir raison je n'avait jamais parler de sa à personne peut être parceque j'avait honte ou parceque j'avait peur qu'on me juge en tous cas je dois te remercier car tu ma écouter...a mais au fait j'espère que tu ne te fait pas d'idée sur moi enfin je veux dire c'est pas parceque avec mon frère on a eu des sentiment que je suis une fille bizzard ou malsaine j'espère que tu ne pense pas des chose aussi horrible

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